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Rainbow Odyssey : La rédemption

Composition musicale

Production indépendante (non publiée)

Délires d’un Y, quelque part entre le poème symphonique et la bande-annonce d’un film de série B; sorte de chaînon manquant entre Youtube, Willie Wonka, Kenneth Copeland (un célèbre télévangéliste américain), le cinéma hollywoodien et une fresque baroque d'Il Correggio. 

Designs sonores, échantillonnages et musiques joignent leurs forces dans Rainbow odyssey  pour créer un magma sonore insoupçonné. Des alliages improbables et surnaturels qui nous font traverser des arcs-en-ciel à bord de wagons fantastiques, avant de nous faire plonger vers les tréfonds de l’enfer afin de combattre les plus vils démons. 

 

Tenez-vous le pour dit : aucun effet dramatique ou de prestidigitation n’y est ménagé. 

 

En résulte un voyage psychédélique, une odyssée épique où se brouillent les frontières entre le plaisir et la souffrance, le bien et le mal, la lumière et l’obscurité, le paradis et l’enfer.

 

Avant d’amorcer l’écoute, n'oubliez pas d'attacher votre ceinture de sécurité et de repérer les sorties de secours les plus proches. Surtout, il est important de garder pleine confiance en la conduite du capitaine, même s'il sera tentant de perdre espoir.

Que mes péchés soient pardonnés, que la lumière brille dans les ténèbres! Praise the Lord! Amen!

Rainbow Odyssey : La rédemption a été lauréate du prix Art sonore aux Phonurgia awards 2022 tenus à Paris.

« Ce qui est assez passionnant, c’est comment Louis-Olivier parvient à rédimer des matériaux assez communs qui font partie de notre environnement sonore quotidien, dans un travail musical qui est assez prodigieux. Ça m’a fait penser à un certain Zappa. J’ai été assez convaincu par ce travail.»

-Bastien Gallet, Phonurgia Nova

« J’ai l’impression que Louis-Olivier se fait extrêmement plaisir, et ça se sent. Il y a une ironie incroyable, il nous épuise à force de rebondissements. Avec ce positive thinking utilisé à outrance,  la figure de l’arc-en ciel c’est magnifique. Il y a un côté exutoire, ça m’a fait un bien fou d’entendre une une oeuvre comme celle-ci. Il nous désarme... J’ai vu des licornes!»

-Anne Gillot, Radio Télévision Suisse

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